Pratique illégale mais autorisée.
Entre deux maux, il faut choisir le moindre !
Les autorités pénitentiaires québécoises ont fait leur compte. Dans l'univers carcéral, il est bien difficile d'empêcher les détenus de se tatouer. Or les conditions dans lesquelles les tatouages sont effectués provoquent nombres de maladies infectieuses et multiplient les risquent de contamination du sida et des hépatites.
Les soins nécessités coûtent très chers. Bien plus cher que d'installer et d'équiper sur…