Henry Leroy : droit de réponse.

Le maire de Mandelieu-La Napoule précise :

Suite à l'article « Brochand-Leroy : le face à face attendu », (lire) publié sur notre site le 14 octobre dernier, le maire de Mandelieu, Henry Leroy, a tenu à apporter les précisons suivantes :

"Je souhaiterais réagir à vos propos où vous expliquez que je n’ai pas brigué le poste de député laissé vacant après le décès de Louise Moreau, avec l’espoir de (me) voir proposer une logique suppléance.

Force est de constater que vous vous trompez. Je n’ai jamais cherché à devenir le suppléant de Bernard Brochand. Ce qui me semblait naturel, c’est que la suppléance revienne à un élu de Mandelieu-La Napoule, deuxième Ville de la Circonscription. L’état d’esprit dans lequel je m’inscrivais était la recherche d’une meilleure représentativité de nos concitoyens et de nos territoires : un « Cannois » comme Député, en l’occurrence Bernard Brochand, un « mandolocien-napoulois » de la majorité municipale comme suppléant.

Je ne puis admettre que la question de la suppléance issue des législatives de 2002 soit désormais instrumentalisée dans le seul but de me nuire. Je vous saurai gré de rétablir la situation avec véracité car ce qui était faux à l’époque l’est aussi aujourd’hui !"

NDLR :

Nous prenons volontiers acte de ce commentaire.

Nous avions laissé apparaître, à plusieurs reprises dans nos articles, combien un tandem Cannes-Mandelieu dans la course aux législatives était logique. Quant à l'espoir "supposé" de M. Leroy d'être choisi par son parti comme le candidat à la députation, ce n'était qu'une supputation…de journaliste. Elle s'appuyait sur le fait que ce dernier pouvait, là aussi en toute logique, briguer le poste de député, dans la mesure où Louise Moreau avait conquis ce poste, elle-même en tant que maire de Mandelieu… Quant à vouloir nuire, par cet article, au maire de Mandelieu, c'est une supputation…de politique.