Mise en cause, à la suite d’un commentaire publié dans nos pages lire, le Collectif Ascéiste, par la voix de son président, a tenu à réagir :

Bonjour,

Je suis le président du Collectif Ascéiste et vous remercie, à ce titre, d'avoir relayé les informations que nous avons publiées la semaine dernière. Je me permets néanmoins d'attirer votre attention sur l'article que vous avez mis en ligne ce week-end, il recèle un certain nombre d'inexactitudes propres à brouiller la portée de notre message, qui se veut éminemment constructif.

Les divergences de vue entre Luis Fernandez et les actionnaires du club ont porté sur le non-respect du partage de tâches tel qu'il avait été défini dans le pacte fondateur de juin 2006.

En tout état de cause, l'AS Cannes est aujourd'hui gérée par des hommes qui ont su tenir leurs engagements financiers. La DNCG salue d'ailleurs la gestion de notre club et nous en sommes heureux.

Nous ne trouvons que plus regrettable la déliquescence du lien local entre l'ASC et son environnement. Luis, justement, participait de la reconstruction de ce lien. Il y a un maillon manquant aujourd'hui et il appartient aux gens en place d'en mesurer les effets, pour mieux ramener le club sur le chemin de la sérénité.

Nous sommes néanmoins confiants pour le devenir à court et moyen terme du club, et nous ne cesserons de veiller à la défense de ses intérêts. L'AS Cannes est certes une société privée, elle ne fait pas moins partie du patrimoine social et culturel cannois. La légitimité de notre action s'appuie sur cette considération.

Bien respectueusement.

Thomas de Pariente
Président co-fondateur du Collectif Ascéiste
(453 membres cotisants)

***on peut aussi consulter ce lien ici pour approfondir le sujet.

- mention : www.pariscotedazur.fr – décembre 2007 -
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