On a de quoi être estomaqué d’apprendre que le cycliste kazakh a pu trouver des associés pour se lancer avec lui dans un projet de centre sportif très haut de gamme. Soupçonné de dopage - suffisamment en tous les cas pour qu’il abandonne le Tour de France, la selle entre les jambes – le coureur devrait avoir du mal…

Bateau, maisons, voiles et toits,
et palmes,
Quel bonheur d’être près de toi,
si calme !
Plages et port, large horizon,
collines,
Promenades que nous faisions,
divines,
Blanc casino, soir de gala,
et danse,
Chance, souper, et cœtera,
romance…
Lune qui tremble sur la mer
immense,
Chant qui s’élève puis se perd…
silence.
Bateaux, maisons, vagues et toits,
platanes,
Quel bonheur…

Six ans déjà que cette brique de plus de 500 pages a paru chez Albin Michel. A la lire aujourd’hui, les pieds dans le sable et la tête sous le parasol, je m’étonne qu’elle n’ait pas fait davantage de bruit ni provoquer plus de colère de la part des a-mis en cause.

Son auteur, Jœ Eszterhas, est le sulfureux…

Avec ton poids de fleurs, d’herbe, de bêtes, d’hommes,
Tes plaines que l’été gonfle comme un levain
Tes arbres que blanchit la promesse des pommes,
Tes bois pleins de mystère et tes vignes de vin…

Avec tes jours fuyants et tes heures charnelles
Tes printemps généreux et tes froides Toussaint
Et les petits enfants, et les vieilles chapelles
Des villages…

Cette Ecole de Nice intrigue, a-t-elle vraiment existée ? Existe-t-elle encore ? L’exposition du Musée de Saint-Paul ne prétend pas alimenter la polémique ni régler le problème, si vraiment cela en est un. Elle a comme objectif principal d’illustrer les rencontres entre André Verdet et les nombreux amis artistes et poètes…

André verdet est plus qu’un simple collectionneur, artiste lui-même – sans…

En écoutant cette rengaine
Qui vient sans que l’on sache d’où
Je me souviens du temps si doux
Où tu me disais je suis tienne !
Nous allions le long de la Seine
En décembre comme au mois d’août
Quelquefois, après une scène
Tu pleurais car j’étais jaloux
Et puis, nous avions trop de peine
A vivre en joignant les deux…

les uns sont couverts de gloire
les autres d'oripeaux
mais, vous pouvez bien me croire
chacun reste dans sa peau

qu'il ait ou non des nageoires
qu'il soit requin ou barbeau
magnifique ou dérisoire
chacun va vers le tombeau

depuis que le monde est monde
il n'est pas une seconde
qui n'ait vu quelqu'un périr

c'est pour ça qu'il ne…