Tweets de ma semaine,
réactifs mais pas réactionnaires, quoi que disent mes amis...
et mes ennemis aussi. Parfois à les écouter, ce sont les mêmes !
- Deux délits de fuite à Nice suite à deux accidents de la
route. La preuve par la lâcheté que les tarifs des assurances auto sont trop
chèrs. Il faut faire prendre conscience à ce #Gouvernement qu’il doit agir dans
ce domaine aussi. Il se doit de poursuivre la politique de ses prédécesseurs,
au fond plus sociaux qu’ils voulaient bien le dire. Après un toit pour tous,
sans papiers compris, des soins pour tous, sans papiers compris, une retraite
pour tous, y compris les néo résidents n’ayant jamais travaillé ni cotisé en
France, un passeport pour tous (les sans papiers en auront enfin un), un Bac
pour tous (c’était en bonne voie)... il devrait maintenant y avoir un permis de
conduire gratuit pour tous, y compris ceux qui n’ont pas de cartes grises (trop
chères aussi). Et évidemment, des assurances gratuites pour ceux qui sont sans
papiers, sans domicile fixe, pour tous ceux qui ne payent pas d’impôts sur les
revenus déclarés ou qui ne déclarent pas leurs revenus, et qui pour échapper
aux foudres de la justice et de leur conscience, décampent fissa lorsqu’ils
provoquent un accident. À la réflexion, ce sont eux les victimes ! Mais vous n'êtes pas obligés de me croire !
- #Eva_Joly préconisait durant la campagne présidentielle de supprimer le Défilé du
14 juillet. Une façon facile de faire des économies et de se fondre un peu plus
dans un fédéralisme qui range au fond du tiroir le sentiment d’appartenir à une nation.
Manifestation symbolique d’un état capable de défendre ses frontières et le cas
échéant d’aider d’autres pays à défendre les siennes. La suggestion de la
candidate, dont la déconfiture n’a pas empêché ses compères
d’aller à la chasse aux maroquins. Compères-loriots (voir le dictionnaire) dont
certains se disaient très antimilitaristes et même prêts à... défiler pour défendre leur cause. Pendant qu'on y est, on devrait envisager de supprimer l'hymne national et le drapeau bleu, blanc, rouge. Mais vous n’êtes pas obligés de me croire !
- Un élu d’une commune du littoral azuréen se plaignait, via
#Tweeter, de la charge de travail qui lui incombait. Multiples tâches
accentuées par le cumul des mandats et des fonctions (nous avons toujours
été contre ce professionnalisme) dont l’importance ne fait aucun doute dans
l’esprit du quidam. Mais comme avait coutume de dire mon père : on ne lui
a pas tordu le bras ! Je dirais même que pour arriver là où il se trouve, il a
dû se donner beaucoup de mal, écarter beaucoup de gêneurs, se prêter à pas mal d’arrangements, faire comme
ses concurrents, beaucoup de promesses plus ou moins tenables. J’aurais
tendance à croire mon père lorsqu’il ajoutait : c’est que la place doit
être bonne petit !
-
Qui n’a pas sa légion d’honneur, qui n’a pas sa légion
d’honneur ? C’est l’heure des renvois d’ascenseur, et ça ne mange pas de
pain, ça ne gruge pas le budget de l’État en cette période de restriction. La
ministre #Cécile_Duflot (qui aurait jamais pu penser qu’elle devienne un jour
ministre de la République - c’est sans doute ça l’Effet papillon ?) vient
d’ailleurs de récompenser #Dominique_Voynet de ne pas lui avoir fait de l’ombre,
en lui faisant attribuer un de ces petits rubans rouges qui vont si bien aux
VIP du show-business comme à ceux de la politique spectacle... Comme disait mon
pôvre père (c’est affectueux car il était pauvre par ailleurs) : passe-moi
la rhubarbe, je te passe le séné ! Il ajoutait parfois : on ne...
donne qu’aux riches !
(à suivre)