Meridien Beach Plaza Monte-Carlo :
le XXIIIème Gala de l’Association Monégasque des sommeliers.
Comme chaque année le monde du vin et de la sommellerie s’est retrouvé dans un hôtel monégasque pour une exceptionnelle soirée de gala.
Comme chaque année le monde du vin et de la sommellerie s’est retrouvé dans un hôtel monégasque pour une exceptionnelle soirée de gala.
Pour l’artiste italo-américaine, disparue en 2006, et pour son fils Carlo chargé de la succession, c’est une page qui se tourne. De nombreuses sculptures affectueusement conservées dans sa maison/atelier de Camaïore, non loin de Carrare et de Pise, ont été ainsi proposées aux collecteurs lors d’une vente aux enchères parisiennes. Elles vont ainsi mieux situer cette artiste protéiforme sur le marché de l’art.
Eric Guelpa publie un livre de recettes mais pas seulement. C’est avant tout l’histoire d’une famille attachée à son terroir et qui en a fait le credo d’une cuisine authentique qui sait être moderne aussi.
La cité gérée depuis 40 ans par des « verts à l’extérieur et rouges à l’intérieur », s’est faite sa pub en prônant le développement durable et la lutte des classes. Un élu de l’opposition, Christophe Chalier, s’est fait plaisir en mettant en évidence quelques petits... paradoxes.
On connaissait le pastis et la sardine, celle qui obstruait l’entrée du vieux Port, mais quant à imaginer que Marseille fabriquait son propre chocolat...
Les vieux Cannois s’en rappellent encore. Un maire visionnaire changea le visage de la ville en couvrant la ligne de chemin de fer qui la traversait. Il s’appelait Bernard Cornut Gentille. Il devait aussi modifier le profil de La Croisette en lui donnant une deuxième voie et en élargissant les plages.
Artiste à part entière, André Hambourg a beaucoup voyagé, beaucoup aimé et capturé l'essence des paysages. Bien que ni Wikipédia ni l'association chargée de défendre son oeuvre, n'en parlent, il aimait venir à Cannes. Nous l'avions rencontré un été à la fin des années 50 à Mougins, sur les hauteurs d'un quartier qui s'appelait les Baraques (débaptisé, on devine pourquoi, le Val de Mougins) où il louait une maison devenue durant quelques mois son atelier. Nous lui avons vu réalisé de belles peintures qui célébraient la Provence ordinaire et où le ciel tenait une place essentielle... une constante dans son oeuvre.