La Chine impose la Mondialisation… à l’insu de notre plein gré.
Alain Peyrefitte avait raison lorsque, dès le début des années soixante dix, il prédisait son accession au rang des plus grandes puissances économiques et son irrépressible soif de dominer le monde. Le présent valide son analyse et nous renvoie à notre naïveté judéo-chrétienne, à notre imprévoyance aussi. Nous nous sommes livrés mains et poings liés à cette entité qui ne fait pas dans le détail et qui ne manifeste guère d’état d’âme. Si depuis plusieurs décennies « La Chine s’est éveillée », nous nous sommes endormis sur nos lauriers, comme si notre position dominante était un du, comme s’il ne fallait pas chaque jour se remettre en cause.