Hôtellerie et restauration à l’heure de la réouverture…
« Last but not least ! » Enfin et surtout, comme diraient nos amis anglophones !
- cuisine et table d'hôte chez Bruno Oger -
Si la restauration est autorisée en terrasses (à priori à seulement 50 % de leur capacité), cela ne résout pas totalement la problématique de la réouverture désormais possible des hôtels, ni celle des restaurants qui ne disposent pas ou très peu d’espace extérieur disponible.
C’est pas exemple le cas de Bruno Oger, chef bi-étoilé de la Villa Archange dont le Bistrot des Anges contribue à l’équilibre financier de son entreprise. Le chef a fait ses comptes et va attendre sagement de pouvoir recevoir sa clientèle dès le 9 juin dans les meilleures conditions possibles. En effet, les recettes envisageables ne compenseraient pas les charges fixes pour n’ouvrir que le midi en terrasse et ne concerneraient à priori que la partie brasserie. Questionné sur les difficultés rencontrées, Bruno n’a pas manqué de souligner les aides de l’État et des collectivités locales, notamment la municipalité cannetane qui ont permis à ses équipes de garder la tête hors de l’eau. Grâce à quoi, il pourra les retrouver déterminées à mettre tous les atouts de leur côté. Reste quelques inquiétudes quant à la fréquentation de son établissement sachant que pour la venue de la clientèle étrangère, c’est pas gagné…
Jusqu’à la date tant espérée du 9 juin, les hôtels qui ont décidé d’ouvrir vont continuer à jongler avec des hôtes qu’ils ne pourront pouvoir au dîner que dans leur chambre ou en terrasse s’il en dispose d’une et si la météo le permet, cela en tenant compte de l’heure du couvre-feu, pour l’instant fixé à 21 heures…
- Dis quand reviendras-tu ? Le Royal Riviera -