Yoga et Sports. 6 - Bénéfices attendus…
(suite)
- Suzanne Piuze, Eastman, Québec, 1973 -
Au plan physique
- amélioration durable de la souplesse articulaire
- équilibration des courbures vertébrales,
- meilleur tonus musculaire,
- accroissement de la résistance organique notamment sur les intestins, reins, cœur, circulation sanguine, glandes endocrines…
- prévention des troubles fonctionnels,
- récupération plus rapide après l’effort ou une maladie.
Au plan mental
- contrôle accru des émotions grâce à l’action régulatrice sur le système nerveux,
- développement du pouvoir de concentration, évitant ainsi l’éparpillement de la pensée,
- la pratique de la méditation permet en outre de réduire l’importance des conflits, d’être mieux dans sa peau et de communiquer plus efficacement avec son environnement.
Après avoir dressé dans son livre publié au milieu des années 60, « L’A.B.C. du yoga », Philippe de Méric, une liste non limitative de la pratique raisonnée du Hatha-Yoga, précise dans son autre ouvrage, « Yoga sans posture », la différence entre gymnastique d’entretien traditionnelle et celle proposée par le yoga :
« Dans le cas des méthodes occidentales, gymnastique rapide, l’oxygène absorbée est consommée par le muscle, c’est une dépense d’énergie. Dans le cas de la gymnastique lente avec contrôle de la respiration, le muscle n’ayant plus besoin de se désintoxiquer, l’oxygène inspiré est utilisé pour brûler les graisses superflues et surtout tonifier les organes d’élimination : c’est un gain d’énergie. »
N.B. : évidement, la pratique de l’une de ces deux options, n’interdit en aucune façon de se priver des bénéfices procurés par l’autre...