Un remake des années passées et au train où vont les choses, pas grand espoir d’amélioration en vue... Il y a toujours plus de touristes, de voitures, de climatiseurs (dans les voitures et les appartements)... et le soleil au moins aussi présent et aux dires de certains climatologues en passe de devenir omniprésent. Tout cela ensemble donne un cocktail détonnant et empoisonnant. L’air se charge d’ozone et il faut attendre que les températures baissent et que le vent disperse les polluants pour que la situation évolue. On notera que si les miasmes sont dispersées par le vent, elles ne disparaissent pas par enchantement, elles vont, elles viennent et on les retrouve, oh surprise jusque sur les contreforts de nos Apes méditerranéennes...

En raison de l'incendie survenu dans la Vallée de la Roya, la Préfecture des Alpes-Maritimes souhaite rappeler les bons comportements à adopter pour prévenir le sinistre, mais aussi les réflexes indispensables à avoir en cas d'incendie déclaré pour protéger ses biens et sa vie.

La petite principauté monégasque est depuis l’engagement de son fondateur le Prince Albert 1er (1848 – 1922), à la pointe des combats pour la protection des mers. L’actuel directeur de l’Institut océanographique, Robert Calgagno, prend ici position en faveur d’une extension des aires marines protégées. Il jette aussi un pavé dans la... mare en poussant les politiques et les chefs d’entreprise à s’approprier cette noble cause. Elle ne doit pas, à son sens, rester aux seules mains des associations de protection :

Les pêcheurs professionnels de Cannes se plaignaient ces jours-ci, à juste raison nous semble-t-il, des dégâts causés par les prélèvements de sable en mer, à seulement quelques encablures du littoral. Prélèvements destinés certes à réensabler les plages de la Bocca mais qui abiment dans l’opération le milieu naturel, mettant à mal les quelques posidonies qui restent et troublant la nidification des poissons. Quant aux nageurs munis d’un masque, ils ne peuvent que constater l’entassement des déchets solides dans les poches ainsi créées (bouteilles en plastique...).

Les tortues marines ou terrestres font parties des espèces menacées. Animaux réputés pour leur lenteur, surtout sur terre, elles sont de ce simple fait, particulièrement vulnérables et cela d’autant que leur chair et les œufs sont prisés par les populations locales. Une tortue sur deux est aujourd’hui menacée de disparition du fait de... l’Homme.

Le néo-Marseillais habitué aux provocations nous régale d’un habitat revu et corrigé.