Les océans malades de l’homme...
à son chevet, spécialistes et scientifiques dressent le diagnostic.
Toute forme de pollution terrestre ou aérienne aboutira un jour ou l’autre dans nos mers, avertissait déjà Jacques Yves Cousteau. Que cela prenne un an ou un siècle, nos déchets les plus dangereux termineront leur vie dans les océans, les lacs, les mers intérieures et les nappes phréatiques. Si certains finiront par se transformer en molécules inoffensives, d’autres s’y accumuleront et leurs effets n’en seront que plus destructeurs pour la biodiversité et pour notre survie dans des conditions acceptables. Quant à leurs interactions, il y a tout lieu d’être inquiet si l’on en croit les résultats des dernières recherches.