À tort et à travers...
Un des 20 poèmes de Fernand Dartigues publié dans l’ouvrage « Dix francs pièce », année 50.
Un des 20 poèmes de Fernand Dartigues publié dans l’ouvrage « Dix francs pièce », année 50.
A l'approche des fêtes de fin d'année, l'ouverture d'un commerce éphémère est une idée d'autant plus séduisante que ce type de boutique est plébiscitée par les consommateurs, surtout dans les centres-villes. Elle nécessite toutefois des obligations juridiques et une stratégie marketing. Explications de texte par le PDF de Clic Formalités, Jérôme Tarting.
Dix après son assassinat, Fernand Dartigues se rappellait de cette date : le 23 novembre 1963… (article publié sur Paris Côte d’Azur le 1er décembre 1973)
A la fin des années 60, Prisunic, sous la direction artistique de Denise Fayolle puis de Jacques Lavaux, témoigne d’une inventivité et d’un avant-gardisme qui n’auront pas d’équivalent en France voire en Europe.
Le plus court chemin par la route nationale N.567 pour rejoindre Mouans-Sartoux et surtout Grasse, capitale mondiale du parfum, passait et passe toujours par les Barraques devenues opportunément et plus élégamment « Le Val de Mougins ». Au pied du village ce quartier s’est développé lentement. Il ne comptait au début des années 60 que quelques commerces, une épicerie, deux bars, un garage tenu par Mr Mogini (qu’il devait plus tard déménager un peu plus bas, vers le Tournamy). Son nom faisait référence aux casernes napoléoniennes. En ce temps-là, les Cannois accueillaient les Mouginois en disant "Mougins qui calle !"...
Éric Garandeau a remis son rapport sur l’avenir des Studios de la Victorine à Christian Estrosi, Maire de Nice et Président de la Métropole Nice Côte d’Azur. Il était entouré de plusieurs membres du Comité : Daniel Benoin, Raphael Benoliel, John Bernard, Véronique Cayla, Costa Gavras, Alain Kruger, Alexandre Michelin et Iris Knobloch...