Pendant longtemps la large plaine alluviale du Var, fleuve côtier, a permis le développement d’une agriculture de proximité. Cultures maraîchères et arboriculture y prospéraient. Plus tard, l’horticulture installa des hectares de serres sur une terre qui se prêtait particulière bien à cette exploitation. Puis, petit à petit, la pression immobilière se fit de plus en plus pressante. Les besoins grandissants de surfaces susceptibles d’accueillir des zones industrielles et commerciales sur des terrains plats et faciles d’accès, prirent le pas sur l’intérêt de les conserver pour l’exploitation agricole, d’autant que cette dernière était de moins en moins rentable.