Les relations entre la France, Israël et le Liban, durant une période qui s’étend de la fin de la guerre d’Algérie à la fin de la guerre civile libanaise en 1990 n’ont jamais été simples. Le politologue Roland Lombardi décrypte pour nous, les trente années qui sonnent la fin de l’influence française dans le monde arabo-musulman en général. Par ailleurs, l’auteur nous explique comment, durant ces trois décennies, les diplomates les plus éclairés ont perdu de leur influence remplacés par des technocrates bien éloignés des réalités du terrain. Extraits de cet ouvrage référence de plus de 400 pages :

David Ratte, dessinateur engagé, revient avec un nouvel album, Ma fille, mon enfant et aborde la difficile question du racisme dans la vie de tous le jours.

Les municipales semblent être le bon format concernant l’avenir des petits commerces versus les grands centres commerciaux et les grandes surfaces en périphérie des villes. Certains candidats se positionnent sur ce créneau.

Il se présentera sous les couleurs de l’Union Populaire Républicaine, parti politique qui s’est positionné en faveur de la sortie de la France de l’Union Européenne et de la zone euro. Il est présidé par son fondateur, François Asselineau, énarque, gaulliste, haut fonctionnaire, homme d’expérience, il s’oppose au FN de Marine Le Pen.

Un ouvrage signé par Patrick Boisselier et préfacé par Alain Bauer. Le criminologue référence nous invite à le lire pour nourrir la réflexion. Il est vrai que l’auteur est particulièrement exhaustif dans la description de la situation, une situation qui ne prête pas à l’optimisme, surtout si nous « ne changeons pas de paradigme ». Patrick Boissselier a le mérite de compléter le bilan peu réjouissant de nos sociétés présentes en lançant des pistes de travail, notamment « en réformant profondément nos systèmes de gouvernance. »

Jean-Valéry Desens réaffirme son « opposition totale. Le conseiller municipal de Mandelieu-La Napoule, conseiller communautaire de Cannes-Lérins, est déterminé à faire obstacle à « un projet qui va accentuer les nuisances de circulation, précipiter les déséquilibres économiques au détriment des commerces de proximité et porter un coup à la lutte contre les inondations. »

Réaction avisée de Philippe Buerch, notaire cannois et président de l’association Agir : « Il aura fallu quelques jours aux membres du comité des finances locales pour digérer le grand raout ministériel de présentation du projet de budget de finances des collectivités. Comme toujours dans les grandes annonces l’intérêt est dans ce qui n’est pas dit, plutôt que dans ce qui est annoncé, le diable se cachant toujours dans les détails comme tout le monde le sait.