- article publié en 1966 -

Cette entreprise grassoise installée à Mouans-Sartoux, conjugue dans ses préparations quatre éléments fondamentaux : le carbone, l’hydrogène, l’oxygène, l’azote.

Pour Nice, capitale économique de la Côte d'Azur et 5ème ville de France, se sera bientôt chose faite. A moins que d'ici la fin des travaux prévus pour 2021, un autre magasin de la marque sorte de terre et lui brûle la politesse. Après maintes péripéties, la firme suédoise aura pignon sur... le quartier Saint-Isidore avec la perspective d’une zone marchande d’1,3 million d’habitants. On peut y ajouter une partie de ceux des départements limitrophes, voire de l’Italie qui ne craindra pas de faire quelques kilomètres de plus pour « magasiner » comme le disent nos cousins québécois…

La nouvelle carte de Côté Jardin by Christophe Ferré vient d’arriver. Le chef propose à son adresse bistrotière, une multitude de saveurs pour réchauffer les papilles et toujours à prix doux.

Situé à Lorgues, il veille jalousement sur son patrimoine et son vignoble, d’une superficie de 143 hectares. Le climat méditerranéen à influence continentale du Château de Berne offre en effet au domaine viticole un environnement particulièrement favorable à la culture de la vigne. Les nuits fraîches du haut Var assurent une maturation lente et optimale des raisins, les vendanges sont donc plus tardives que sur le littoral. La fraîcheur du climat est renforcée par la minéralité calcaire des sols et la forte pierrosité. Déjà certifié Haute Valeur Environnementale, il est depuis 2018 en conversion à l’agriculture biologique.

Caché entre les pins et les chênes se dresse un magnifique domaine de 200 hectares, le Château Roubine, l’un des Crus Classés les plus réputés de la région. Avec ses 144 hectares de vignes, le Château offre une grande diversité de cépages et produit des vins rouges, blancs et rosés de haute qualité. Dans un souci de respect du terroir, le Domaine est certifié en Agriculture Biologique depuis 2017.

Initiative sans lendemain, ce concours ouvert à tous les restaurateurs de la Cité des Festivals, se déroula durant l’hiver 2000. La peur irraisonnée d’une catastrophe numérique savamment entretenue par de peu scrupuleux présumés spécialistes, était déjà loin derrière les préoccupations des Français. l’heure était plutôt aux préparatifs des vacances de fin d’années et de leur agapes… D’où l’idée de ce concours de trouver un plat qui serait typiquement cannois et qui pourrait figurer sur la carte de tous les professionnels de la bonne chère.