Archives 2020
Tourisme. Le CRT Côte d'Azur fait le point...
sur le déconfinement.
Annonces particulièrement attendues par les professionnels du tourisme : les mesures encadrant la deuxième phase du déconfinement sont désormais connues. Le premier ministre, Édouard Philippe, a ainsi précisé, jeudi 28 mai, l’assouplissement des règles de déconfinement qui prendront effet à compter du mardi 2 juin. Le tourisme étant l’un des secteurs économiques le plus durement touché par cette crise sanitaire, l’enjeu majeur est à présent de concilier l’exigence de protection sanitaire et la reprise sociale et économique du secteur. Voici ce qu’il faut retenir des annonces du Gouvernement.
Les Domaines de Fontenille… fin prêts.
Le DG de la Collection, Laurent Branover et ses équipes, ont déployé toute leur énergie afin de répondre aux mesures sanitaires requises par le gouvernement dans le cadre du déconfinement. Les hôtels ont été entièrement désinfectés par des sociétés extérieures et tous les collaborateurs formés aux protocoles sanitaires. La distribution de masques et de gels hydroalcooliques s’accompagnera d’offres de restauration adaptée réservée uniquement aux clients de l’hôtel mais également de ventes à emporter.
« Vacances bleues » sur les starting blocks...
Dans le contexte actuel de déconfinement, l’entreprise hôtelière met en place de nouvelles conditions tarifaires pour aider les vacanciers à se projeter dans leurs vacances d’été tout en garantissant aux futurs vacanciers un séjour respectueux des normes sanitaires.
Les artisans relancent leurs ateliers !
Ils sont 350 artisans qui proposent plus de 700 ateliers dont 80 en Paca... à un public curieux.
Le Collège culinaire de France propose des circuits courts...
La date du déconfinement à la fois attendue et redoutée sur un plan sanitaire comme économique est arrivée. Avec elle, les habitudes de consommation de la population devront évoluer, ne serait-ce que momentanément.
Immigration. Les bons comptes de la Cour ne font pas les bons amis !
Le rapport de la Cour des comptes du mois de février dernier a évalué le coût de l’immigration à 6,6 milliards € et pointe du doigt les coûts sous-estimés, notamment ceux concernant les mineurs non accompagnés. De quoi se mêle-t-elle à être à ce point « politiquement incorrect » alors que la gauche nous rabâche que la France a besoin d’une immigration massive pour combler notre déficit natal, qu’il faut régulariser les sans-papiers d’urgence et accueillir toujours plus de réfugiés dont la plupart sont des réfugiés économiques qui ne parlent pas la langue, sont peu diplômés et considèrent comme des mécréants tous ceux qui n’ont pas la même culture et le même culte religieux… Quant aux centristes pleins de bons sentiments, ils sont toujours prêts à tendre l’autre joue et à faire œuvre de repentance...